Les faits, le 18 août 2023, le maître-chien ayant aperçu au cours de sa ronde un poste téléviseur sur la véranda de la villa de Dame Awa, il décide de le voler.
Une fois la nuit tombée, il revient sur les lieux et escalade la clôture de la villa. Ce qu’il ne savait pas c’est que la cour était surveillée par un vigile.
Il est arrêté et conduit manu militari au poste de police de l’ancienne capitale de la Côte d’Ivoire. Devant les forces de l’ordre, il reconnait les faits tout comme devant le juge d’instruction. Bonaventure Yao est placé sous mandat de dépôt le 21 août.
A la barre, il sollicite le pardon du propriétaire de la cour, mais également du tribunal.
Le procureur a requis 6 mois de prison ferme, 200000 Fcfa d’amende, 5ans de privatisation de droits civiques et 3 ans d’interdiction de paraître sur le territoire national. Le juge a suivi le réquisitoire de madame le procureur.
Notons que le prévenu était poursuivi pour tentative de vol en temps de nuit, fait punir par les articles 28, 457, 459, 461, et 452 du code pénal ivoirien.
Une fois la nuit tombée, il revient sur les lieux et escalade la clôture de la villa. Ce qu’il ne savait pas c’est que la cour était surveillée par un vigile.
Il est arrêté et conduit manu militari au poste de police de l’ancienne capitale de la Côte d’Ivoire. Devant les forces de l’ordre, il reconnait les faits tout comme devant le juge d’instruction. Bonaventure Yao est placé sous mandat de dépôt le 21 août.
A la barre, il sollicite le pardon du propriétaire de la cour, mais également du tribunal.
Le procureur a requis 6 mois de prison ferme, 200000 Fcfa d’amende, 5ans de privatisation de droits civiques et 3 ans d’interdiction de paraître sur le territoire national. Le juge a suivi le réquisitoire de madame le procureur.
Notons que le prévenu était poursuivi pour tentative de vol en temps de nuit, fait punir par les articles 28, 457, 459, 461, et 452 du code pénal ivoirien.
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